Voilà ce qu’a dû se dire le pilote ce jour-là. Et pour secouer, il aura mis la dose ! Vendredi dernier, 13h, par une journée venteuse. Fébrile, je fais la découverte du petit aérodrome vendéen. J’hésite entre l’ivresse et la crainte. Car je suis venu jusqu’ici pour une virée singulière: un baptême de voltige. Je fais la connaissance du pilote, Antony, qui apaise instantanément mes craintes. On démarre par une heure de briefing. L’ambiance est cool. Mais je sens tout de même que l’appréhension monte en moi à mesure que l’heure tourne. Pour finir vient le moment de passer à l’acte. Je passe le parachute tel un sac à dos… et prends finalement la direction de l’appareil. Le biplan est un petit bijou bi-place très performant. L’appareil est léger et solide et, comme je vais bientôt le remarquer, surtout facile à manoeuvrer… L’intérieur du cockpit est sommaire. L’engin a été imaginé pour servir un seul objectif: procurer le plus de sensations possibles. Lorsque je suis logé sur mon siège, bien harnaché, j’ai brusquement l’étrange sensation d’être une extension de l’appareil. Antony me demande si je suis prêt. Je réponds par l’affirmative, même si je ne suis pas certain qu’on puisse être prêt pour ce genre d’expérience. La bête crachote au démarrage puis rugit. Même si j’ai mon casque, le raffut est effrayant. Antony contrôle le bon fonctionnement de mon casque micro, puis nous nous envolons pour une vingtaine de minutes de rêve. L’avion quitte le plancher des vaches afin de rallier le secteur de voltige. Ca commence sans crier gare. Premier break. Je respire un grand coup et me raccroche aux lanières, impressionné. Je n’avais pas prévu des sensations aussi extrêmes. Mais ce n’était là que le coup d’envoi. Tonneaux, boucles, déclenchés. Les acrobaties se suivent à une allure folle. Régulièrement, il m’arrive de lâcher quelques gros mots. L’expérience est « légèrement » plus fougueuse que ce à quoi je m’attendais. Tous mes repères manquent à l’appel, et le sol et le ciel tournoient autour de nous. Impossible de distinguer le haut du bas, par moments. La partie acrobatique paraît incroyablement courte, mais quand je ressors de l’avion, je suis courbaturé. Au milieu de certaines figures, je subissais jusqu’à 5G: cela signifie que mon corps pesait alors cinq fois plus lourd ! C’est expérience dont je vais me souvenir longtemps ! Si vous vous risquez dans une telle escapade, sachez qu’il vaut mieux avoir le coeur bien accroché. Si le pilote adapte évidemment les acrobaties en fonction du ressenti, ça reste malgré tout une incroyable décharge d’adrénaline. Pour en savoir plus, suivez le lien vers cette expérience de voltige aérienne.
« Il faut secouer, sinon le client, il reste en bas… »
Posted: 5th février 2015 by admin in LoisirsTags: voltige aérienne
Comme prévu, annoncé, promu et organisé par l’oligarchie, le parti « Syriza » est arrivé en tête des élections législatives qui se sont tenues en Grèce le 25 janvier 2015. L’affaire a été rondement menée puisque, moins de 20 heures après la fin du scrutin, le dirigeant de Syriza, Alexis Tsipras, a déjà prêté serment comme nouveau Premier ministre grec. Cette victoire ne peut surprendre que ceux qui n’avaient pas remarqué l’écrasante promotion médiatique – en Grèce et à l’étranger – que tous les grands médias euro-atlantistes ont généreusement accordée, depuis des mois, à cette gauche prétendument « radicale » et « anti-austérité ». La nomination de M. Tsipras à la tête du gouvernement d’Athènes a de quoi faire pleurer de rire les organisateurs de cette manipulation, qui sont encore parvenus, par le matraquage médiatique, à faire prendre aux électeurs grecs des vessies pour des lanternes. L’UPR rappelle en effet que le dirigeant de Syriza ne propose absolument pas aux Grecs, ni de sortir de l’UE ni de sortir de l’euro, et ne propose donc aucune issue crédible à la mise en coupe réglée de la Grèce qui découle des contraintes des traités européens et des exigences de la BCE. M. Tsipras a bien au contraire donné tous les gages nécessaires à l’oligarchie euro-atlantiste pour l’assurer du caractère totalement inoffensif de ses slogans : il a par exemple assuré, dans un entretien avec la télévision américaine CNBC du 8 mai 2012 : « Nous ne voulons pas de l’austérité, mais nous voulons de l’Euro et de l’Union Européenne » ; il a enfoncé le clou en déclarant au journal allemand Die Zeit, en octobre 2012, que « la fin de l’euro, ce serait la fin de l’idée européenne : nous devons les défendre, peu importe le prix ». Il s’est rendu aux États-Unis en janvier 2013 pour y être reçu avec tous les honneurs, le 22 janvier, par la Brookings Institution, dont les principaux financiers sont les Fondations Ford, Mac Arthur et Bill Gates, Bank of America, ExxonMobil, ainsi que les gouvernements des États-Unis, du Royaume-Uni, du Japon, du Qatar. Devant le public ainsi réuni à Washington, le chef de Syriza a conclu sa présentation en lançant « J’espère vous avoir convaincu que je ne suis pas aussi dangereux que certains le pensent ». http://www.wsws.org/en/articles/2013/01/26/tsip-j26.html. Selon certaines sources, ce voyage aurait été entièrement pris en charge par le milliardaire George Soros il a profité de ce séjour outre-Atlantique pour aller subir les interrogatoires du FMI et du Département d’État américain, auxquels il a montré patte blanche. Il a « muselé les anti-euro de Syriza (environ 30 % du parti) et a imposé une ligne officielle pro-euro ». L’UPR constate donc, sans surprise mais avec tristesse, que les Grecs viennent d’être victimes des habituelles manipulations médiatiques que les forces euro-atlantistes imposent à chaque élection, afin de déjouer toute remise en cause réelle de leur dictature. Dans chaque pays d’Europe, des politiciens combinards et retors sont présentés aux électeurs, par les médias les plus importants tous à l’unisson, comme étant des opposants « radicaux » aux politiques imposées par l’Union européenne, alors qu’il ne s’agit que de banals leurres « alter-européistes », champions du double-discours, chargés de neutraliser la colère des peuples en leur faisant miroiter de fausses solutions. De nombreux électeurs grecs viennent ainsi de croire que M. Tsipras allait leur permettre de rester dans l’euro tout en échappant à l’austérité, au chômage et à la pauvreté de masse. De nombreux électeurs français avaient été dupés de la même façon lorsqu’ils avaient porté au pouvoir : L’UPR note que le Front de Gauche et le FN ont tout spécialement manifesté leur soutien à Syriza (en gardant délibérément le silence sur les partis politiques grecs – qui existent pourtant bel et bien – demandant la sortie unilatérale de la Grèce de l’Union européenne et de l’euro). Entre leurres français et grecs, on se comprend et on se soutient. Quoi qu’il en soit, les mois qui viennent seront l’occasion, pour le peuple grec, de découvrir l’ampleur de l’escroquerie politique dont ils viennent de nouveau d’être les victimes.
La semaine dernière, à l’occasion d’un séminaire en Italie, j’ai découvert une partie du pays que je ne connaissais pas. Si j’avais déjà visité la partie sud lors d’un voyage à Rome et d’un autre à Naples, et si j’avais déjà exploré la partie nord avec le lac de Côme et Milan, il me restait cependant un dernier grand site touristique du pays à découvrir: la célèbre tour de Pise. Ce séminaire n’avait pas lieu à Pise, mais à Lucques. Une ville voisine charmante qui est un peu l’exact inverse de la très populeuse Pise. Et si vous devez explorer cette région du monde un jour, je vous recommande fortement de séjourner à Lucques et non à Pise même !
Laissez-moi vous présenter les deux pour vous faire une idée.
Lucques, d’abord. Epargnée par le tourisme de masse et protégée par ses fortifications de la Renaissance bien préservées, Lucques est avant tout une ville paisible. Les rues ne débordent pas de touristes comme à Rome, à Venise… ou à Pise, évidemment. On peut ainsi y visiter en toute tranquillité les palais (qui abritent aujourd’hui des magasins d’antiquités ou de produits alimentaires), ou découvrir l’une de ses églises médiévales. San Michele in Foro par exemple, un édifice raffiné de 1143, ou la cathédrale encore plus ancienne: deux chefs-d’oeuvre aux sculptures romanes complexes qui valent le détour. Le plus de ces églises étant que leur entrée est gratuite (ceux qui ont déjà visité Rome me comprendront…).
Entre deux réunions tendues (c’est fou comme la crise économique a tendance à ajouter des tensions dans les entreprises), nous parcourions le plus souvent la promenade ombragée de chênes au-dessus des remparts pour avoir une vue sur les anciennes oliveraies qui s’étirent autour de la ville (la province de Lucques produit, paraît-il, la meilleure huile d’olive au monde, mais je n’y ai pas goûté). Le soir venu, nous savourions le plus souvent une glace dans l’atmosphère poétique de l’Antico Caffè di Simo, le café favori de Giacomo Puccini. Bref, n’eûssent été les réunions elles-mêmes, ce séminaire en Italie aurait été parfait.
Malheureusement, nous n’avons pu résister à l’envie de découvrir la célèbre tour penchée toute proche. Nous avons donc rejoint le flot de touristes voulant tous faire une photo d’eux donnant l’impression qu’ils retenaient la tour à bout de bras (ou, pour certains, que la tour penchée sortait de leur entrejambe… la grande classe, en somme).
En ce qui concerne la ville proprement dite, pas la peine de s’étendre: Pise est en elle-même une ville très ordinaire, qui ne mérite le détour que pour sa tour penchée. Et encore. Se rendre dans cette partie de l’Italie pour voir ce seul monument me semble largement exagéré.
Car la tour n’est pas aussi impressionnante qu’on peut le penser. L’inclinaison de la tour vient en fait de l’instabilité de ses fondations: elle penchait déjà avant d’être achevée et continua de s’incliner de quelques millimètres chaque année, jusqu’aux travaux entrepris dans les années 1990, qui permirent de la stabiliser avec un écartement de 4 mètres entre le sommet et la verticale.
Le fait que la ville soit connue pour cet unique monument a quelque chose d’assez ironique. Construite en 1174, cette tour était à l’origine destinée à être le simple campanile de la cathédrale ; or, les visiteurs s’agglutinent autour de celui-ci sans même jeter un oeil au bâtiment principal. La cathédrale mérite pourtant un coup d’oeil: son chantier, qui débuta en 1063 et qui fait face à un baptistère, offre un extérieur en filigrane spectaculaire et une acoustique incroyable.
Si ce séminaire en Italie a été en définitive une bonne surprise, je ne comprends décidément pas l’intérêt touristique de Pise, et ce encore moins après l’avoir découverte.
Découvrir la cuisine exotique au quotidien
Posted: 8th avril 2014 by admin in LoisirsTags: cuisine, gastronomie, idee de reve, voyage
Le voyage évoque indéniablement la gastronomie, et vice versa. On voyage, donc l’on mange différemment, et l’on mange autre chose parce que l’on voyage. C’est précisément ce qui m’a attiré sur un site de cuisine qui propose de voyager et de découvrir des produits et des ingrédients différents et de les utiliser dans notre cuisine de tous les jours. Par exemple, l’abricot Hunza ou encore le Quandong. Préparez-vous au voyage. Perché dans les montagnes du Karakoram, dans le nord du Pakistan, se trouve un paysage de hauts pics et de vallées en terrasses, de villages isolés et d’hivers enneigés : le Hunza. Les Hunzakuts qui y vivent sont réputés pour leur longévité, que certains attribuent au magnifique abricot Hunza. En fait, cet abricot est si vénéré que le statut économique d’une famille peut être mesuré en abricotiers. Le Karakoram se situe à l’extrémité ouest du massif de l’Himalaya, sur la route de la soie : c’est peut-être les marchands de soie qui rapportèrent l’abricot de sa terre natale chinoise. Les Hunzakuts apprécient les abricots frais en saison, mais ils en sèchent également une grande quantité. Séché, l’abricot peut être mangé ainsi, cuisiné dans des plats salés comme sucrés, ou réduit en purée et mélangé à de la neige pour faire une sorte de glace. Les abricots frais sont très difficiles à transporter, c’est pourquoi le Hunza est très recherché en Occident. Très différent des variétés spongieuses oranges qui sont généralement traitées au soufre pour leur conservation, l’abricot Hunza est d’un brun sombre. La nature sauvage et aride de l’Australie centrale semble un milieu bien inhospitalier pour qu’y poussent des aliments, mais le désert offre des curiosités récoltées parles indigènes australiens depuis des siècles. Le quandong – connu également sous le nom de « pèche du désert» – est si riche en vitamine C que bon nombre des premiers explorateurs australiens seraient morts du scorbut s’ils n’étaient pas tombés sur ce riche aliment. Son nom vernaculaire français dérive de guwandhomg, le mot utilisé par le peuple Wiradjuri de Nouvelle-Galles du Sud. Comme le traditionnel bush tucker (« nourriture de la brousse ») devient progressivement une source durable d’alimentation, la culture du quandong s’accroît. Le fruit frais a la taille d’un petit abricot rouge vif et une chair blanche ou jaune pâle. Les indigènes le sèchent au soleil afin de le préserver : congelé ou séché, il peut se garder huit ans sans perdre son goût. Le noyau est riche en huile et donne, une fois cuit, une noix de style amande, mais certains sont amers. Brûlé, le bois de l’arbre quandong dégage un agréable parfum de santal. A découvrir sur Cours de cuisine.
En simulateur de Canadair
Posted: 8th avril 2014 by admin in LoisirsTags: canadair, simulateur de vol
Si vous avez envie de mettre en position de combattant du feu, voici une nouvelle installation qui devrait vous plaire. D’autant plus si vous aimez l’aviation puisque l’on vous proposera d’ici deux à trois mois sur Roissy, de prendre les commandes d’un Canadair et d’effectuer une mission de lutte contre l’incendie. Au départ, l’installation est dédiée à des professionnels, mais l’ouverture au grand public devrait permettre de rentabiliser un peu le programme. Le CL-215 a été le premier appareil amphibie (pouvant à la fois se poser sur roues ou sur l’eau) conçu spécifiquement pour la lutte anti-feu par le constructeur Canadair devenu par la suite Bombardier et ce pour répondre à une demande du Québec. Le Canadair CL-215 dispose de deux moteurs à pistons de 2100 ch qui seront remplacés sur la version modernisée CL-415 en 1994 par deux turbines de 2 400 ch, plus fiables et plus faciles d’entretien. Les 125 CL-215 seront produits de 1969 à 1990 et les 67 CL-415 de 1994 à nos jours. Le type est utilisé par onze pays, dont notamment le Canada, la France, l’Italie, le Portugal, la Turquie et l’Espagne. Le CL-415 est plus rapide que son prédécesseur et dispose d’une charge utile plus importante, avec 6 000 litres dans plusieurs compartiments. L’eau, additionnée ou non de plusieurs composants chimiques, peut être chargée au sol à l’arrêt, mais la technique la plus rapide consiste à venir frôler la surface d’une rivière, d’un lac ou de la mer pour écoper l’eau par de petites buses placées sous le ventre de l’appareil. Cela nécessite une dizaine de secondes et moins de 500 m de distance à la vitesse de 140 km/ h. Le pilotage est risqué avec les turbulences dues aux incendies et à la fumée, avec des risques de collision avec des obstacles (pylônes, câbles), et plus de 30 Canadair ont déjà été perdus en mission ou fortement accidentés. Sur un sinistre, les Canadair peuvent effectuer de multiples largages à tour de rôle, en contact radio avec les pompiers au sol. Suivez le lien vers cette session en simulateur de vol si ce programme de vol sur Canadair vous intéresse.
Découvrir l’église d’Urnes
Posted: 19th décembre 2013 by admin in CultureTags: église urnes, norvège, voyage insolite
A découvrir pour les amateurs d’histoire, de comtes merveilleux et de dépaysement, l’église d’Urnes en Norvège, qui est un réel site historique, devenu très célèbre. L’église d’Urnes est célèbre à plus d’un titre. Non seulement, elle offre l’une des plus ancienne structures de bois qui ont subsisté jusqu’à nos jours et témoigne donc d’un type de construction qui constitue une des contributions norvégiennes au domaine de l’architecture. Mais, en outre, elle comporte des détails ornementaux remarquables, qui ont donné son nom à un type de décoration, le style d’Urnes. Son âge, la qualité de sa décoration et son emplacement dans une vallée glaciaire ont conduit l’UNESCO à l’intégrer à son patrimoine mondial. L’âge de la construction est connu de façon assez précise et se situe aux environs de 1130. Les arbres utilisés ont probablement été abattus entre 1129 et 1131. Il s’agissait sans doute à l’origine d’un lieu de culte privé réservé à une puissante famille, les ornes. Des fouilles archéologiques ont permis de déterminer que deux églises avaient été précédemment bâties sur le même site. L’essentiel des éléments de décoration créés pour la deuxième église fut réincorporé dans le bâtiment que nous connaissons actuellement. Kirkke signifie « église ›› en norvégien, et stav désigne les bois debout, ces poteaux plantés verticalement qui assuraient la cohésion de l’édifice. Dans une stavkirkke, la zone entourant le centre de la nef est souvent relevée, donnant à l’ensemble de ses toits et de ses pignons l’’allure d’une pagode. La toiture d’Urnes est moins impressionnante que les extraordinaires sculptures de ses panneaux de porte, récupérés sur l’église précédente. Créés durant la seconde partie du 11ème siècle, ces panneaux sont ornés d’entrelacs de serpents et de dragons. Ce type d’aurifères aisément adapté à d’autres matériaux tels que la pierre ou le métal. Les Vikings, dans leurs raids et leurs expéditions, l’exportèrent dans une bonne partie de l’Europe. Il remporta un grand succès auprès des celtes de Grande-Bretagne et d’Irlande. Pour en savoir plus, allez sur Voyage Insolite.
Gastronomie à Montréal
Posted: 12th novembre 2013 by admin in voyagesTags: gastronomie, montréal, voyage canada
Pour ceux qui souhaitent découvrir une ville avec de l’aventure, de la culture, de l’art, et du fun, voici Montréal. Montréal est la métropole du Québec, le centre de la culture et des affaires. Il s’agit de la deuxième plus grande ville du Canada, après Toronto, et c’est également la plus importante ville francophone d’Amérique. Cette ville n’est pas comme les autres, c’est avant tout une ville à vivre. Nous organisons des tours de la ville en vélo, à pied, en roller, ou en minibus pour vous permettre de vous orienter plus facilement et de reconnaître les points d’intérêts, puis c’est à vous de découvrir. Laissez-vous vous perdre dans le Vieux Montréal, une réelle plongée dans le temps de ce qu’était alors la Nouvelle France. Retrouvez-vous Place Royale, avec ses bistrots dans lesquels, avec une atmosphère détendue, on envisage ce que sera la soirée. Egalement à faire, une balade en bateau, le temps d’un déjeuner, diner ou cocktail, pour découvrir au fil de l’eau. Il faut mentionner la gastronomie qui fait ici office d’art. Il n’y a pas moins de 5000 restaurants à Montréal, ce qui en fait l’une des villes les plus gastronomiques d’Amérique du Nord. Il y a bien sur la Poutine – cette curiosité culinaire qui mixe frites, fromage cheddar et sauce bbq dont les québéquois sont très friands, mais surtout il existe une réelle gastronomie qui offre des saveurs fantastiques qui s’ouvrent avec les herbes de printemps. Nous organisons des cours de cuisine avec une école prestigieuse à Montréal pour travailler sur et découvrir de nouveaux goûts. La métropole est reconnue pour sa créativité et, à cet égard, les chefs de la scène culinaire locale ont l’art de se démarquer. Savoir-faire et imagination permettent à ces artistes de créer une gastronomie unique se traduisant par un heureux mariage entre tradition et innovation, cuisine française classique et influences régionales ou multiethniques. Les chefs privilégient l’élaboration de menus saisonniers qui mettent en valeur des ingrédients frais fournis par les producteurs locaux. On les croise souvent dans les marchés publics en quête d’inspiration pour leurs prochaines créations. Aussi, il n’est pas rare de les voir bavarder avec les clients de leurs restaurants. Et pour tous les amoureux de gastronomie, a ne pas rater, le séminaire à Montréal de la gastronomie francophone qui invite chaque année des chefs francophones qui partagent leurs expériences.
Partez à la découverte d’Ubud à Bali, un lieu intemporel où se mêle histoire, gastronomie, mystique et modernisme. L’île de Bali en Indonésie doit sa place particulière à ses paysages mais aussi à sa a culture et à son art hindous. Les Balinais croient depuis toujours que les dieux vivent dans les montagnes, y a-t-il une meilleure raison pour délaisser les plages animées de Kuta et Sanur et filer vers les collines au nord ? Depuis des années, on considère qu’Ubud est la capitale du patrimoine artistique de Bali, titre qu’il faut mériter dans une île où l’art est partout et où tout le monde vit pour honorer les dieux. La ville, qui attira les peintres européens dans les années 1920, n’a pas changé. Sautez dans un bemo (minibus) délabré où se pressent les hommes et les poulets, et descendez après la rue principale encombrée afin de vous promener dans les fabuleuses rizières. Les fermiers que vous y verrez seront peut-être les musiciens ou les acteurs que vous applaudirez le soir au temple. Louez un vélo et observez la vie quotidienne. Si vous êtes à la recherche d’émotions fortes, tentez le rafting et descendez l’Ayung entre falaises vertigineuses et chutes d’eau impressionnantes. Contre toute attente, Ubud a un nombre de restaurants raffinés étonnants. IÎ un des pionniers, Le Mozaic, ouvert en 2001 est connu pour son menu découverte à 6 plats, une présentation exotique du monde des saveurs délicates de Bali. Vous souhaiterez peut-être suivre des cours de cuisine au Paon Bali dans le village voisin de Laplapan – vous commencerez par aller au marché pour choisir vos ingrédients avant de préparer un délicieux festin. À Ubud, il existe toutes sortes d’hébergements, des chambres chez l’habitant aux hôtels exquis parmi les meilleurs au monde. Amandari, une interprétation fantasmée de village fortifié balinais, est plus une retraite qu’un hôtel. Sa réception, un bâtiment au toit de chaume, rappelle les wantilan, les halls de réunion traditionnels, et sa piscine suit les contours des rizières vert émeraude en terrasses qui surplombent l’Ayung et sa vallée en contrebas. On admire les mêmes paysages magnifiques de rizières du Waka di Ume, alors que c’est plutôt les massages ayurvédiques, le yoga et la méditation qu’on ira Chercher dans les élégantes Purist Villas. Pour en savoir plus : http://www.super-voyage.fr
Le monde de l’aviation permet de réaliser de nombreux rêves, comme celui de voire le monde de haut, et surtout de pouvoir admirer des paysages extraordinaires. Parfois, c’est l’avion lui-même qui permet de vivre un moment fort, comme ce que propose Ford avec son Trimotor. Pendant l’entre-deux-guerres, le transport aérien débute, et plusieurs constructeurs proposent des appareils. Henry Ford, déjà connu pour ses camions et ses voitures (la fameuse Ford Model T), se lance dans l’aventure. Avec un premier vol réalisé en 1926, le Ford Trimotor est un avion de ligne trimoteur entièrement construit en métal, propulsé par des moteurs en étoile de 420 ch. Reprenant une formule similaire au concurrent Fokker F-VII, mais avec l’usage du métal et des tôles « ondulées » pour en renforcer la rigidité – solution technique également utilisée par Junkers – le Trimotor va faire progresser le transport aérien aux États-Unis, faisant preuve d’une solidité à toute épreuve et d’une bonne fiabilité, avec une cabine acceptant quinze passagers assis dans des sièges en rotin. Le Trimotor est produit à partir de 1926, trois ans avant la crise économique de 1929, mais cela ne va pas l’empêcher d’intéresser plus de cent compagnies aériennes, dont la Pan American Airlines et l’Eastern Air Transport. Quand la chaîne de production s’arrête en 1933, 199 appareils ont été construits. S’il a surtout transporté des passagers, le Trimotor a également servi au fret, grâce à sa cabine facilement transformable. Des dizaines de versions ont vu le jour C’est à bord d’un Trimotor que Richard Byrd survole pour la première fois le pôle Sud en novembre 1929. Dans les années 1930, le Trimotor est dépassé par une nouvelle génération de propliners, dont le DC-3. Le trimoteur n’aura pas de suite, car Henry Ford abandonne l’aviation pour l’automobile… Il est possible de faire un vol sur ce type d’avion aux Etats-Unis, mais aussi sur d’autres avions plus rapides tels que des avions de chasse. Pour en savoir plus, vous pouvez vous rendre sur le site spécialisé vol en avion de chasse.
A la recherche d’un week-end insolite ? Envolez-vous pour la Suède, direction Stockholm, et plus précisément son ancienne prison, pour un week-end différent. Långholmen était autrefois la plus grande prison de Suède. Les imposants bâtiments du XIXe siège érigés sur une île arborée non loin du centre-ville ont été transformés en hôtel et les anciennes cellules, en chambres. L’ancienne prison de la Couronne fut utilisée pour les prisonniers les plus célèbres de la capitale jusqu’en 1975 et la cage d’escalier d’origine subsiste au centre de l’édifice. Elle forme aujourd’hui un atrium spacieux entre les chambres. Les cellules elles-mêmes possèdent encore de petites fenêtres sans barreaux, mais les portes blindées ont été retirées. Chacune dispose d’une douche et de toilettes. Les murs sont décorés de coupures de journaux détaillant les crimes et jugements des prisonniers. Les hôtes reçoivent également la copie de l’emploi du temps journalier d’un ancien détenu. La prison compte désormais 102 chambres, ainsi qu’une auberge de jeunesse, un centre de conférence, un musée et quatre restaurants, dont un se trouve dans l’édifice ou les femmes prisonnières passaient leurs journées à tisser. Heureusement, le menu propose autre chose que du pain et de l’eau. Le site dispose également d’un café donnant sur un patio et vous pouvez jouer aux boules dans l’ancienne cour d’exercices. L’ile elle-même fait partie des plus vastes parmi les centaines qui forment la capitale suédoise. Son histoire a fait qu’elle est restée un coin de campagne presque vierge à seulement quinze minutes de marche du Palais royal et de la vieille ville. La petite plage qui jouxte les murs de l’ancienne prison est un lieu très apprécie par les vacanciers. Car les détenus de l’époque ne pouvaient malheureusement pas profiter de la plage, ni même du grand air… Passez le week-end dans une prison, voilà donc une bonne idée pour un week-end insolite. Pour en savoir plus : www.langholmen.com